Ludivine Vancker et ses collègues de la section de recherches de Paris enquêtent sur un tueur insaisissable dont les traces ne permettent pas son identification. Lorsque les services secrets français décident de participer à la résolution de l'affaire, les mots tueur en série et terrorisme sont associés.
Avis
Un Chattam c'est toujours un roman que je prends plaisir à découvrir, quoi que l'histoire raconte. En l'occurrence, j'étais ravie de retrouver Ludivine Vancker et la SR pour ce troisième tome (et aussi un peu inquiète pour eux, ma lecture m'a largement prouvé que j'avais raison de l'être ^^').
Donc j'ai plongé avec plaisir dans cette lecture et autant dire que j'ai adoré ! (et mon coeur s'est arrêté de battre lors de trois chapitres différents ^^').
L'histoire commence presque banalement, avec un corps heurté sur des rails par un train. La SR va se rendre sur les lieux et se rendre compte que c'est sans doute loin d'être un suicide. Ils se lancent alors dans une enquête, sans savoir ce qu'ils vont trouver. Jusqu'à ce que la DGSI se pointe dans leurs locaux, pour se tenir informé de leur enquête. Et ce corps va se transformer subitement en enquête de grande ampleur, à la recherche d'un tueur en série. S'engage alors une course contre la montre contre un individu qui semble invisible, et qui semble avoir des projets sinistres...
Alors en réfléchissant, je me rappelle d'où par le roman, et quand je vois où on arrive, je me dis que c'est quand même flippant ^^ Et pourtant tout coule de manière très facile, les chapitres s'enchaînent, fluides. J'ai énormément apprécié que l'enquête ripe de cette manière. Ainsi, avec ce troisième tome, l'auteur nous offre encore un cadre différent pour Ludivine et la SR, et pourtant, il est toujours plus réaliste. Peut être d'autant plus inquiétant qu'il touche des événements qui se sont produits en France et pourront se produire encore à l'avenir.
Il faut avoir le coeur bien accroché pour lire un Maxime Chattam, et ça je l'ai compris dès mon tout premier, qui était La Conjuration primitive. Mais je dois avouer que L'Appel du Néant m'a encore plus soulevé le coeur, peut être parce que le terrorisme, on le vit presque quotidiennement, bien plus que les tueurs en série (qui sont affreusement angoissants, mais pas forcément une réalité que l'on peut sentir aussi proche de nous). Paradoxalement, ce roman m'a aussi donné de l'espoir. Un peu au moins. Pour ceux qui l'ont lu, je fais référence à cette noirceur si commune à l'auteur qui a semblé s'effacer ici, à ma plus grande surprise et pour mon plus grand bonheur.
J'ai été ravie de retrouver Lulu. C'est un personnage que j'apprécie tout particulièrement. Elle a fait face au Mal au cours de deux enquêtes. Ce qu'elle a vécu aurait de quoi faire vriller n'importe qui. Mais elle, elle se bat toujours. Elle travaille sur elle, pour ne pas sombrer, bien consciente qu'il y a une limite. Et puis la SR est comme une grande famille, ils veillent les uns sur les autres, attentifs à chacun.
Je vais sans doute me répéter mais c'était flagrant à mes yeux dans ce roman. Comme vous le savez peut être, je suis étudiante en droit, le pénal c'est ma passion et j'ai lu ce roman alors que je révisais à fond ma procédure pénale. Autant dire que la moindre incohérence m'aurait sorti de ma lecture et fortement agacée. Mais, encore une fois, Maxime Chattam a su monter une histoire angoissante, qui semble tout simplement réelle. Il évoque avec justesse toute ce côté procédural. Et quitte à parler de justesse, il a aussi su trouver le ton parfait pour un sujet aussi 'brûlant' sans prendre partie. Du coup ce fut un vrai plaisir de découvrir cette histoire.
Est ce que je parle encore du style Maxime Chattam ? J'adore tout simplement. Ses romans me captivent, de part leurs rythmes, leurs intrigues et leur justesse. Celui ci n'a pas fait exception.
En bref, c'était génial.
Donc j'ai plongé avec plaisir dans cette lecture et autant dire que j'ai adoré ! (et mon coeur s'est arrêté de battre lors de trois chapitres différents ^^').
L'histoire commence presque banalement, avec un corps heurté sur des rails par un train. La SR va se rendre sur les lieux et se rendre compte que c'est sans doute loin d'être un suicide. Ils se lancent alors dans une enquête, sans savoir ce qu'ils vont trouver. Jusqu'à ce que la DGSI se pointe dans leurs locaux, pour se tenir informé de leur enquête. Et ce corps va se transformer subitement en enquête de grande ampleur, à la recherche d'un tueur en série. S'engage alors une course contre la montre contre un individu qui semble invisible, et qui semble avoir des projets sinistres...
Alors en réfléchissant, je me rappelle d'où par le roman, et quand je vois où on arrive, je me dis que c'est quand même flippant ^^ Et pourtant tout coule de manière très facile, les chapitres s'enchaînent, fluides. J'ai énormément apprécié que l'enquête ripe de cette manière. Ainsi, avec ce troisième tome, l'auteur nous offre encore un cadre différent pour Ludivine et la SR, et pourtant, il est toujours plus réaliste. Peut être d'autant plus inquiétant qu'il touche des événements qui se sont produits en France et pourront se produire encore à l'avenir.
Il faut avoir le coeur bien accroché pour lire un Maxime Chattam, et ça je l'ai compris dès mon tout premier, qui était La Conjuration primitive. Mais je dois avouer que L'Appel du Néant m'a encore plus soulevé le coeur, peut être parce que le terrorisme, on le vit presque quotidiennement, bien plus que les tueurs en série (qui sont affreusement angoissants, mais pas forcément une réalité que l'on peut sentir aussi proche de nous). Paradoxalement, ce roman m'a aussi donné de l'espoir. Un peu au moins. Pour ceux qui l'ont lu, je fais référence à cette noirceur si commune à l'auteur qui a semblé s'effacer ici, à ma plus grande surprise et pour mon plus grand bonheur.
J'ai été ravie de retrouver Lulu. C'est un personnage que j'apprécie tout particulièrement. Elle a fait face au Mal au cours de deux enquêtes. Ce qu'elle a vécu aurait de quoi faire vriller n'importe qui. Mais elle, elle se bat toujours. Elle travaille sur elle, pour ne pas sombrer, bien consciente qu'il y a une limite. Et puis la SR est comme une grande famille, ils veillent les uns sur les autres, attentifs à chacun.
Je vais sans doute me répéter mais c'était flagrant à mes yeux dans ce roman. Comme vous le savez peut être, je suis étudiante en droit, le pénal c'est ma passion et j'ai lu ce roman alors que je révisais à fond ma procédure pénale. Autant dire que la moindre incohérence m'aurait sorti de ma lecture et fortement agacée. Mais, encore une fois, Maxime Chattam a su monter une histoire angoissante, qui semble tout simplement réelle. Il évoque avec justesse toute ce côté procédural. Et quitte à parler de justesse, il a aussi su trouver le ton parfait pour un sujet aussi 'brûlant' sans prendre partie. Du coup ce fut un vrai plaisir de découvrir cette histoire.
Est ce que je parle encore du style Maxime Chattam ? J'adore tout simplement. Ses romans me captivent, de part leurs rythmes, leurs intrigues et leur justesse. Celui ci n'a pas fait exception.
En bref, c'était génial.
L'écriture de Maxime Chattam est tellement addictive en même temps *-*
RépondreSupprimerMais oui !! J'adore ses romans
SupprimerMais ravie que tu ais aime 😁
RépondreSupprimerMerciiii :p
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